« Le but, c’est de faire marrer » : d’où vient la tradition des « corridas », ces courses festives en fin d’année ?

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« J’ai dû rajouter le mot pédestre pour éviter toute confusion. » Claude Lacherest, le responsable de la commission running à la Ligue Île-de-France d’athlétisme (Lifa), organise la corrida d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en novembre. Et comme beaucoup d’organisateurs de ces courses, il a subi la foudre… des militants anti-tauromachie.

Ce dimanche 14 décembre à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), pour la 47e édition de la corrida de Noël, la question se posera certainement, et même pour la plupart des 14 000 coureurs attendus. « Non, il n’y aura pas de lâcher de taureaux dans les rues de la ville, sourit Claude Mercier, le président de l’Association pour la promotion de la course à pied (APCAP) en Île-de-France. Le terme corrida vient en réalité du Brésil. » Et plus précisément de Sao Paulo, il y a un siècle, le soir du 31 décembre 1925. Un 15 km est organisé comme une fête pour passer le cap de la nouvelle année. Cette course s’appelle la « Corrida de la Saint-Sylvestre » et acquiert rapidement une renommée mondiale sous le nom de la « Corrida de Sao Paulo ». Pourquoi corrida ? Tout simplement parce que corrida signifie courir en portugais, la langue officielle au Brésil.

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