« Je sais ce qu’il me faut pour réussir » : d’Élancourt à Châtel, comment Pauline Ferrand-Prévot a gagné son pari

Merci d'indiquer la note que vous attribuez à « Je sais ce qu’il me faut pour réussir » : d’Élancourt à Châtel, comment Pauline Ferrand-Prévot a gagné son pari.

1 étoile pour la moins bonne note, 5 étoiles pour la meilleure. Vous pouvez modifier votre notation sans restriction.
Un seul vote par épargnant est comptabilisé dans la moyenne. Le sens interdit vous permet d'annuler votre vote.

X Fermer cette fenêtre